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Remarques
sur la musculature thoracique d'Oncojapyx
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Par rapport au squelette
externe de Lepisma celui du Japygide est un peu plus
rigide : la musculature longitudinale dorsale et ventrale est plus pauvre
en éléments que chez Lepisma malgré la multiplicité
des scélrites dorsaux et sternaux permettant des mouvements ondulatoires
comparables à ceux des Chilopodes : moins nombreux que chez Lepisma,
les muscles du Japygide sont cependant plus puissants car ils
interviennent dans le fouissement. La coxa et les arcs supracoxaux évoquent la région pleurale du Chiopode Lithobius à dorso-ventraux peu nombreux ; idem pour le Japygide aux arcs moins bien individualisés et moins mobiles que chez Lepisma. Cependant, environ 3/4 des muscles du Japygide sont homologables à ceux du Lepisma et confirment l'interprétation proposés pour les arcs pleuraux. A noter l'absence, comme chez Lithobius, de coxo-pleuraux, de trochantéro-pleuraux et de trochantéro-notaux. Cette simplification par rapport à Lepisma pourrauit être corrélative à l'extrême réduction de l'arc catapleural et à l'orientation très différentes du trochanter.
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